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Henry Brière

 

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Naissance

Henry Brière voit le jour à Marieville, le 25 août 1848 et est baptisé le 27 suivant en présence de son père, de son parrain Toussaint Métiguy et de sa marraine Amélie Breault. 

Fils de Louis-Rustique et Ursule Guillet, sa troisième épouse, il est précédé d’un frère de trois ans son aîné, François-Xavier (surnommé Frances), et suivi d’une sœur de trois ans sa cadette, Célina.  Au moment de sa naissance, notons que, des 16 enfants issus des mariages précédents de son père, quatre demi-sœurs et deux demi-frère seulement sont toujours vivants, soit Adéline (du 1er lit) qui est déjà marié, Rose-de-Lima, Euphrasie, Louis et Trefflé (du 2e lit) encore célibataires de même que Marguerite.

La famille habite la terre du rang de la Branche du Pin Rouge (lot #187), propriété d’Ursule Guillet. 

Le petit Henry connaît la douleur de perdre sa mère quelques jours après son 7e anniversaire de naissance.  Il vit près de 12 ans sur la ferme familiale avec son père, son frère et sa sœur;  au recensement de 1861 à Marieville, on retrouve Louis (68 ans), François (16 ans), Henry (12 ans) et Célina 9 ans. 

Henry n’a pas encore 19 ans lorsque son père décède à son tour, laissant trois orphelins.  Une assemblée de parents et amis est dûment tenue conformément à la Loi au cours de laquelle son frère François-Xavier devient tuteur des deux enfants mineurs, Henry et Célina.   L’acte de tutelle est homologué par Louis Tellier, député protonotaire de la Cour supérieure pour le district de Saint-Hyacinthe, le 26 juin 1867.  Le 9 juillet 1867, après qu’on ait procédé à l’inventaire des biens de ses parents,  Henry assiste à la vente aux enchères qui s’ensuit dont la criée et l’adjudication ont été confiées au crieur Joseph Ménard de Marieville. 

Il est particulièrement émouvant de constater que le jeune Henry achète à l’encan les effets suivants :  une tigne (.09), raquette (.03), un sopha (.13), un coffe (1.08). un lit garni (4.00), une paire de pantalon (.50), 4 chemises (1.00), un capot (2.00), un blanchissois (.11), deux égoines (.30), une paire de roues (10.00), un harnais (.42), une scie de long (.55), une hache (.50), un godendart (1.00), un wagon fin (50.00), une plaine et virlope (.12), une fautx et son manche (prix non lisible), un lot de…..(.26), de la crème (.02), un lot de bois de….(19.00), une jumen et son poulin (29.50), une taure (14.75), un cochon (4.67), un lot de feraille (.54).  Il doit se résigner à voir partir les autres biens accumulés par sa famille au cours des années…quelle tristesse !   Trois semaines plus tard, le nouveau tuteur prend épouse, possiblement pour l’aider à assumer ses nouvelles responsabilités.  Les nombreux et importants changements survenus en deux mois et demi ont dû bouleverser considérablement la vie du jeune Henry.     

A sa majorité, Henry retirera de la succession de son père la somme de 13.62$ et de celle de sa mère la somme de 40.12$ pour un total de 53.74$;  il héritera aussi du tiers de la terre de la Branche du Pin Rouge léguée par sa mère. 

Établissement

Notre Henry semble assez débrouillard puisqu’il……..la terre…..accumule des biens.

Le 30 août 1869, quelques jours après avoir attint sa majorité de 21 ans, Henry se présente devant le notaire Fontaine et achète de son frère François-Xavier une 3e partie indivise de la terre familiale située dans le rang de la Branche du Pin Rouge.  La vente est conclue pour la somme de 250$;  100$ est payé comptant et Henry promet de payer 46.41$ le 2 novembre 1869 (sans intérêt) alors que le solde de 103.59$ (à 6% d’intérêt) sera versé à sa sœur Célina lors de sa majorité, conformément à l’acte de partage déjà conclu relativement à la succession de leurs parents.  Les sommes dues sont garanties par une hypothèque. 

Six ans plus tard, on apprendra les détails de ses possessions qui consistent à une terre de 40 arpents sur laquelle sont érigés une maison, une grange, une étable et d’autres bâtiments; aux immeubles s’ajoutent trois chevaux, des attelages, un wagon, un buggy, une charrette à roues, une charrue, une herse de même que les récoltes de l’année courante, des effets mobiliers et des billets pour la somme de 122.50$.  

Henri est devenu un homme;  sérieux, travaillant et bien installé, il est prêt à prendre épouse et fonder une famille. 

Mariage

Henry rencontre Louise-Anna Martel dont il souhaite faire la compagne de sa vie et la mère de ses enfants. 

Celle qui est connue sous le prénom de Louise-Anna naît à Marieville, le 21 juillet 1853, et est baptisée le lendemain sous les prénoms de Marie Mathilde Malvina en présence de son père, de son parrain Jacques Guillet et de sa marraine Adèle Massé.  Fille d’Oliver Martel et de Nathalie Massé, elle arrive au neuvième rang des quatorze naissances de cette famille.

Fort jolie, de caractère agréable, instruite et en bonne santé, elle fait partie d’une famille respectée et bien nantie de la paroisse.  Elle exerce ses talents de musicienne au clavier de l’harmonium qu’elle prévoit apporter pour égayer son nouveau logis.

Il n’en faut pas plus pour qu’Henry fasse la grande demande, comme le veut la coutume.  On l’imagine, le cœur battant, quelques sueurs au front, se dirigeant vers la maison des Martel, puis, devant le père de sa bien-aimée, prononcer la fameuse question « …m’accordez-vous la main de votre fille Louise- Anna…? ».  Que d’émotions !

Le père Martel a sans doute donné une réponse positive puisque les nouveaux amoureux se présentent chez le notaire Grégoire Bombardier, le lundi 20 septembre 1875, pour y conclure un contrat de mariage (voir Annexe).  Pour cet important événement, Louise-Anna est accompagnée de ses père et mère, trois de ses soeurs et deux beaux-frères.  La plupart d’entre eux signent l’acte légal, ce qui surprend à cette époque où un grand nombre de citoyens ne savent ni lire ni écrire. 

Le contrat de mariage de ces ancêtres est fort révélateur de l’apport de chacune des  parties au patrimoine familial.

D’une part, nous avons mentionné plus haut les possessions d’Henry au moment de son mariage qui assurent un démarrage sécurisant pour la nouvelle famille.  

D’autre part, il est étonnant d’examiner le tableau ci-contre qui présente de façon très détaillée les biens que la future épouse et sa famille ont prévu verser à la nouvelle communauté.   

La contribution de la famille Martel à l’établissement du nouveau couple, considérée comme la dot de la jeune femme, illustre clairement les us et coutumes de  l’époque. 

On remarque l’importance  accordée à certains effets qui, dans notre monde d’abondance, nous semblent sans valeur et dont la possession est devenue banale.  Qui inscrirait, aujourd’hui, une corde à linge et des épingles à linge à son contrat de mariage ?! 

Et pourtant, ils étaient certainement vus comme un jeune couple privilégié.    

Dès le lendemain, le jeune homme de 27 ans et la charmante femme de 22 ans échangent leurs promesses de mariage au pied de l’autel dans l’église de Marieville. 

Une correspondance du 8 novembre 1875 nous révèle que les registres d’église et de l’état civil de la paroisse ont été détruits par feu dans le poêle de la sacristie de l’église, ce qui a suscité la consternation chez les habitants.  Heureusement, un acte légal a imposé la production d’un duplicata des registres disparus afin de récupérer les principaux renseignements brûlés.  L’acte de mariage original d’Henry et Louise-Anna fait partie de ceux qui ont dû être reconstitués dans le cadre de cet exercice;  Henri a donc été assermenté à cette fin le 10 janvier 1976, rappelant les détails de l’événement de même la présence des témoins, son ami Toussaint Métilly et son beau-père Olivier Martel.   Sait-il à ce moment là qu’un premier enfant est déjà en route ?!  

Famille 

Neuf enfants se succèdent dans le berceau familial au cours des 17 années suivantes;  le tableau suivant les présente et résume les principales étapes de leur vie. 

No

Prénom

Naissance

Mariage

Époux/se

Décès

1

Florida

(4 enfants)

Marieville

01-09-1876

Holyoke, MA, USA

31-03-1902

Marie-Louise Bouthillier

États-Unis

1939

2

Elphégina

(6 enfants)

Marieville

21-06-1878

Marieville

01-04-1902

Onésime Moison

États-Unis

3

Arthur

(9 enfants)

Marieville

26-02-1880

Marieville

16-04-1912

Blanche Davignon

Marieville

05-01-1963

4

Rosetta

(3 enfants)

Marieville

08-03-1882

Holyoke, MA, USA

02-01-1906

Louis Provost

États-Unis

5

Alberta Marie Anna

Marieville

19-03-1884

 

 

Marieville

22-06-1893

6

Eugène

Marieville

08-03-1886

 

 

Montréal

01-04-1948

7

Marie Rose

Marieville

08-04-1887

(Religieuse)

 

Saint-Hyacinthe

03-05-1973

8

Ernestine

Marieville

06-09-1889

(Religieuse)

 

Saint-Hyacinthe

01-01-1982

9

Marie Louise

(aucun enfant)

 

Marieville

02-09-1892

Marieville

07-09-1915

Lucien Gingras

Hôpital de

Saint-Jean-sur-Richelieu

08-01-1985

La vie continue

Au recensement de 1881 à Marieville, on retrouve Henry (31 ans) et Louise-Anna (28 ans) avec leurs enfants Florida (5 ans), Ephégina (3 ans) et Arthur (1 an).  Ils sont voisins de Joseph Ménard et, à quelques portes de chez eux se trouve la famille d’Olivier Martel et celle de Jacques Guillette.  Au même moment, son frère Frances et sa famille sont aussi recensés à Marieville. 

Le 2 novembre 1882, devant le notaire Grégoire Bombardier, Henry consent un hypothèque à Isaïe Martel;  cet hypothèque est renouvelé par le créancier, le 26 novembre 1884. 

Le 19 mars 1886, devant le notaire Louis Bombardier, il achète de son voisin Pierre Bédard une terre de 30 arpents située dans le rang du Ruisseau Saint-Louis côté Est (lot #188);  le coût est de 1000$ qu’il s’engage à payer comme suit, 83.33$ le 1er novembre suivant et le solde le 2 novembre 1891 avec intérêt de 6%.  Pour garantir le paiement des sommes dues, il hypothèque cette nouvelle terre de même que celle du lot #187 qu’il possède déjà. 

Au recensement de 1891 à Marieville, la famille réside toujours au même endroit, dans le range de la Branche du Pin Rouge;  on retrouve Henry (40 ans) et Louise-Anna (32 ans) de même que leurs enfants Florida (18 ans), Elphégina (12 ans), Arthur (11 ans), Rosetta (10 ans), Anna (8 ans), Eugène (5 ans), Marie-Rose (4 ans) et Ernestine (2 ans).  On remarque les voisins Joseph Ménard et Félix Guillet de même que les familles de Joseph Gladu, Stanislas, Omer Martel, Salomon Fonteneau et plusieurs autres qui habitent le même rang.  Louise-Anna et cinq des enfants sont qualifiés sachant lire et écrire. 

Il est possible que des difficultés financières aient incité la famille à émigrer…..

Après les succès et les déboires de la vie de cultivateur, la famille émigre au États-Unis au début du 20e siècle, comme plusieurs autres québécois tentant d’y trouver une vie meilleure.  Henry et Louise-Anna reviendront au pays avec une partie de leur famille alors que d’autres de leurs enfants choisiront de poursuivre la descendance au-delà de la frontière et seront naturalisé.

C’est à cette époque que plusieurs membres de la famille émigrent aux États-Unis.  Le recensement américain du début du siècle précisera que Florida, Elphégina et Marie-Rose ont traversé la frontière en 1895.      

Le recensement américain d’Holyoke en date du 6 juin 1900 nous laisse voir la présence de Floriada (23 ans, ice peddler), Elphégina (21 ans, cotton spinner) et Marie-Rose (18 ans, cotton spinner).  

Toutefois, leur séjour chez les américains semble avoir été de courte durée.

En effet, le 24 octobre 1900 Louise-Anna accompagnée et authorisée par son époux Henry se présente chez le notaire Grégoire Bombardier.  Elle achète de Célina Messier (épouse de Jean-Baptiste Ashby) plusieurs propriétés à Marieville, tant dans le village (lot #42) que dans la paroisse Sainte-Marie-de-Monnoir (lots et parties des lots #159, #160, #253 et #251);  le coût d’acquisition total est de 925$.   La photo ci-dessous de même que nos recherches nous ont permis d’identifier enfin la maison qu’ils habitaient dans le village de Marieville.  Les propriétés acquises alors comprenaient les terrains présentement adjacents à cette maison de même que des terrains situées de l’autre côté du ruisseau et accessibles par la rue Ouellette.  

Au recensement de 1901 à Marieville, la famille apparaît au village mais on y retrouve seulement Henry (49 ans) et Louise-Anna (47 ans) avec leurs enfants Arthur (21 ans), Eugène (15 ans), Marie-Rose (14 ans), Ernestine (11 ans) et Marie-Louise (8 ans).  La petite Anna étant décédée en 1893, on peut déduire de cette nomenclature que Florida, Elphégina et Rosetta ne sont plus à la maison;  ils sont probablement partis tenter leur chance aux États-Unis.   

Dès l’année suivante, soit le 31 mars 1902, Florida se marie à Holyoke aux Etats-Unis.  Le lendemain, Elphégina prend époux à l’église de Marieville pour retourner s’établir aux États-Unis avec son mari.    

Le 28 août 1909, Henry fait partie d’un groupe de marievillois qui signent une pétition appuyant une demande de licence d’Émile Tanguay en vue de tenir une auberge.  Le 27 mars 1911, il se joint à quelques dizaines de citoyens qui appuient une demande similaire du même tenancier attestant ce qui suit : « Nous soussignés, Électeurs Municipaux …certifions…que Émile Tanguay…est personnellement connu de nous, qu’il est honnête, sobre, et jouit d’une bonne réputation, et est une personne convenable pour tenir une auberge.  Que nous avons visité ou connaissons la maison et ses dépendances situées à Marieville, rue Marieville, pour laquelle la licence est demandée, et qu’il y tient des lits pour les voyageurs et des laces pour les animaux et les autres articles exigés par la loi.  Nous certifions de plus qu’une auberge est nécessaire à l’endroit où la dite maison es située. »  Cette auberge était situé à quelques maisons au sud de la maison des Brière, sur la rue Claude de Ramezay.    

Au recensement de 1911 à Marieville, Henry (60 ans) et Louise-Anna (58 ans) vivent paisiblement au village avec la cadette de la famille, Marie-Louise (18 ans).  Marie-Rose et Ernestine sont entrées au couvent en 1907;  Florida, Elphégina et Rosetta sont mariés et vivent aux États-Unis où Arthur, encore célibataire, fait de longs séjours pour  pour y travailler.  Il est possible qu’Eugène soit aussi aux Etats-Unis puisqu’il n’apparaît pas dans ce recensement de Marieville.

Décès et sépulture

Henry et Louise-Anna ont surmonté ensemble les difficultés de la vie et ils ont vécu heureux jusqu’à ce que la grande faucheuse les sépare après 36 ans de vie commune, rappelant Henry auprès du Seigneur. 

Selon la tradition orale dans la famille, Henry Brière aurait connu des problèmes vasculaires et aurait été amputé d’une jambe à l’Hôpital Notre-Dame de Montréal.  Tante Marie-Louise racontait que son père était parfois stressé ou souffrant et qu’il lui demandait de le détendre en lui marchant sur le dos.  Il décède à Marieville, le 4 janvier 1912, à l’âge de 63 ans.  Ses funérailles sont célébrées quatre jours plus tard dans l’église locale par le curé Jean-Baptiste Houle en présence de plusieurs parents et amis;  l’acte porte les signatures de ses trois fils, ses deux gendres et son frère Frances.  

Veuvage de Louise-Anna Martel

Le 25 septembre 1914, Louise-Anna vend toutes ses propriétés de Marieville à Joseph Monast, gentilhomme demeurant à Bennington au Vermont;  le prix de vente est de 2900$.   Elle s’établie aux États-Unis où elle vit auprès de trois de ses enfants devenus américains.   Demeurée veuve près de 30 ans, elle a réussi à maintenir des liens étroits entre les membres de sa famille malgré la distance qui les séparait.  

Louise-Anna Martel décède chez sa fille Elphégina, à Willimansett, Massachussett, aux États-Unis, le 23 janvier 1941, à l’âge de 87 ans;  ses restes reposent dans lot familial du cimetière de South Hadley dans l’état du Massachusett.  J’ai eu le privilège de me recueillir sur sa tombe il y a quelques années, un moment bien émouvant.       

Ses petits enfants se souviennent d’elle comme d’une belle grand-maman au visage rond et aux cheveux bouclés, douce et souriante, intelligente et fière, qui les appelait affectueusement «mon ti-chou».  Nous avons entendu raconter tant de fois les expéditions aux États, habituellement en train, pour aller visiter celle qu’on appelait avec grand respect et affection « mémère Brière ».  Elle a  grandement laissé sa marque et ce texte démontre que nous ne l’avons pas oubliée.  Louise-Anna était notre chère arrière-grand-mère et nous portons fièrement une partie de son héritage génétique !   

Descendance

Henry Brière et Louise-Anna Martel ont maintenant plusieurs descendants, tant au Canada qu’aux États-Unis et même au-delà des frontières de l’Amérique. 

Eugène, Ernestine, Marie-Rose et Marie-Louise n’ont pas eu d’enfants; une page distincte est consacrée à chacun d’eux sous l’onglet « Biographies ». 

Arthur est mon grand-père et on retrouve un texte le concernant sous le titre « Mes ancêtres Brière – 7e génération – Arthur ». 

Florida, Elphégina et Rosetta se sont établi aux États-Unis; ils y ont fondé leurs familles et ont plusieurs descendants américains.    

 

Florida et Marie-Louise Bouthiller

  1.             Rita Brière naît à Holyoke le 19 septembre 1911
  2.             Rhéa Brière naît à Holyoke le 12 août 1913;  elle épouse Roger-A. Jacquot qui décède le 6 octobre 1986;  en décembre 2004 elle habitait       Chapin Center (200 Kendall Street, Springfield, Mass.)
  3.             Harvey Jean-Louis Brière naît le 24 juin 1919;  il épouse Mona Belliveau à Willimansett (La Nativité) vers 1950. Ils ont deux enfants, Noreen  née en 1951 qui a un fils et Richard né en 1953 qui lui a trois enfants.  En 2012, Harvey et son épouse habitent encore la maison ayant appartenue à son père, située au 30 Bemis street, Chicopee, Mass.
  4.             Norman Roger Brière naît à Willimansett le 12 octobre 1924;  il épouse Rita-Blanche Hébert (née à Holyoke le 20 mai 1927), à Holyoke (Precious Blood), Mass. le 4 juillet 1946.  Ils ont huit enfants.  Norman décède le 12 mars 1997 et est inhumé dans le cimetière Notre-Dame de Chicopee. 

Elphégina et Onésime Moison

  1.             Léo Joseph Arthur Moison naît en 1903 à Holyoke;  il décède à Holyoke vers l’âge de 10 ou 12 ans après s’être coupé sur un tuyau en allant se baigner, blessure qui aurait causé un empoisonnement. 
  2.             Norm « Norry » Moison, pourrait être le jumeau le Léo.
  3.             Aurore Rose Blanche Moison naît à Holyoke, le 29 novembre 1904; épouse en premières noces Adhémar (nommé Bill) Boisvert, dont la voie de chanteur était reconnue;  ils ont une fille, Shirley Boisvert qui a épous Donald Plante.  Aurore épouse en deuxièmes noces Eugene (surnom Gene) Parenteau.  Elle décède en 1976 aux États-Unis. 
  4.             Irène Moison naît vers 1907 et serait décédée de la tuberculose à Holyoke, le 20 février 1928. 
  5.             Arthur Moison, jumeau d’Armand, naît le 27 novembre 1909
  6.             Armand Moison, jumeau d’Arthur, naît le 27 novembre 1909

Rosetta et Louis Provost : 

  1.             Alice Provost épouse Philippe Fortin. 
  2.             Doris Provost
  3.             Jeannette Provost 

 

Cousins et cousines, je vous invite à communiquer avec moi

pour modifier ou ajouter des informations sur notre belle grande famille Brière !